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Les chroniques des Sveinsson

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MessageSujet: Les chroniques des Sveinsson Les chroniques des Sveinsson EmptyMar 5 Oct - 23:32
Aaslaug : La nuit cruelle

Au cœur de la nuit, il n'y avait que le son de sa respiration essoufflée qui traversait le silence de la forêt. Son souffle blanc trahissait le froid qui mordait le bout de son nez et la pointe de ses phalanges. Alors qu’elle avançait lentement, elle gardait contre elle un petit paquet emmailloté dans une mousseline grise qu'elle avait elle-même tissée.  

Rosaline s’était dirigée péniblement vers le village endormi en comptant les secondes qui lui restait avec sa petite fille. L'âme à l'envers, elle ne put s'empêcher de ressentir de la culpabilité face à son échec dans le rôle de mère que lui avait confié la vie. Malgré ses efforts, elle n'arrivait pas à combler la faim du bébé et celui-ci hurlait, affamé, du matin au soir.  

Arrivée au campement, la jeune femme se faufila jusqu'à une chaumière qu’elle avait longuement étudié. Des enfants y vivaient déjà et le foyer semblait idéal pour accueillir sa petite fille. Avant d'abandonner son petit trésor endormi au pied des marches de la porte, elle s'assura qu'elle avait chaud et s’empressa d'embrasser son visage potelé, centimètre par centimètre. Elle prit soin de cajoler une dernière fois sa petite, enfouissant son nez mouillé de larmes dans ses petits cheveux pour respirer une dernière fois son parfum unique.  

Elle n'avait d'autre choix que d'offrir une chance de survie à cette petite fille qui n'avait rien demandé. Le cœur flétris, elle avait cogné à la porte à s’en blesser le poignet et s'était enfuie, jetant un dernier coup d'œil vers son bébé, les prunelles remplis de regrets. Une partie d’elle s’était brisé ce soir-là, alors qu’elle venait de commettre ce qu’aucune mère n’est jamais prête à faire.

La porte s’était ouverte en fracas. Siggrid, le visage endormi, était bien décidé à mettre une main à l'abrutis qui venait de la réveiller. Ce sont les pleurs du bébé qui perdait lentement sa chaleur qui avait capté son attention. Elle avait regardé rapidement autour mais avait compris assez vite que la mère ne reviendrait pas.  

D’une seule main, elle avait agrippé le colis grouillant pour découvrir le petit visage tordu par les pleurs qui s’y cachait.  

< Petite chose maigrichonne, qui a bien pu t'abandonner ici...que vais-je bien faire de toi maintenant…>  

Après une réflexion hâtive et peut-être un peu à cause de son instinct, Siggrid avait décidé de garder le bébé. Elle n’avait pas pris la peine de consulter son mari parce que le sujet l’intéressait peu. Un de plus, un de moins, cela ne ferait à ses yeux aucune différence.  

La petite, inconsolable, avait été amenée près du feu central où la chaleur y était enveloppante. Ayant déjà un bébé à s’occuper, la jeune femme ouvrit sa chemise et la petite Aaslaug trouva le réconfort d’un sein et un estomac enfin comblé.


Aaslaug
Aaslaug


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MessageSujet: Re: Les chroniques des Sveinsson Les chroniques des Sveinsson EmptyVen 8 Oct - 21:58
Clan Sveinn: L'arbre généalogique central*

Les chroniques des Sveinsson Sveins10

*Création d'Aaslaug
Knute Sveinsson
Knute Sveinsson


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MessageSujet: Re: Les chroniques des Sveinsson Les chroniques des Sveinsson EmptyLun 11 Oct - 2:23
-Ne cesse jamais de lire, ma fille

Sa grande paluche s’était posée sur une Sif âgée tout au plus de six ans. Rollo Sveinsson, la Montagne, devait son surnom à une boutade que lui faisaient son frère et sa sœur. Guère le plus grand du lot, c’est à son immobilisme qu’on s’était d’abord attaqué. Thralls et galleuses te grimpent dessus allègrement se moquaient-ils, et la Montagne de demeurer aussi stoïque que son surnom le suggérait.

-Ton père le désapprouvera, disait Brunhilde, celle qui partageait ses côtés, la mère de ses enfants.

-Je m’en moque, trancha-t-il. Avant-hier, nous avons couronné le Roi Bosc du Skornave et nous ferons la guerre avant longtemps.

Il raffermit sa main contre l’épaule menue de sa fille et approcha son visage du sien pour pouvoir donner tout son sens à l’expression se parler dans le blanc des yeux. Rollo n’était pas l’homme le plus loquace. On le connaissait pour tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler. Lorsque sa voix fendait l’air, on se taisait pour entendre ce qu’il avait à dire.

-Nous ne sommes pas des Sveinn, et tu n’es pas une Sveinsson, Sif. Mais la légende du Sveinsfoddir doit survivre. Toute notre vie, nous devons l’honorer et assurer sa lignée. Les temps changent, et ils le verront. Ils finiront par voir l’attrait de pouvoir lire les messages que nous interceptons et de comprendre les inventaires que nos ennemis tiennent.

Et il répétait, comme pour peser sur l’importance de ces mots.

-Alors ne cesse jamais de lire, Sif.



✧༝┉┉┉┉┉˚*❋ ❋ ❋*˚┉┉┉┉┉༝✧



Six années s’étaient écoulées. Elle était perchée sur la balustrade à observer la cour en bas, serrant contre elle un épais volume parcheminé à reliure de cuir et décoré de fioritures. Son attention était posée vers Sveinn et Knute qui luttaient, couverts de boue et de sueur.

Sveinn, digne héritier du nom et du poids qui l’accompagnait, avait comme toujours l’avantage sur son frère cadet qui redoublait d’efforts. Maintenant au sommet de sa forme, elle pouvait compter sur les doigts d’une main le nombre de fois où elle l’avait vu défait. Il avait fière allure, le savait, et profitait du succès qu’accompagnait son nom et ses prouesses.

Quant à Knute, il lui rappelait son père en tout point. Le destin avait bien fait les choses, et il était à son frère ce que Rollo avait été au sien. Pour Sif, Knute était cette oreille facile à qui elle pouvait se confier de tout et de rien et qui répondait de grognements approbateurs ou désapprobateurs. Et comme la Montagne elle-même semblait trouver en son neveu l’extension de sa propre personne, c’est souvent à lui que revenait la charge de la surveiller, chose dont il s’acquittait avec un laxisme qui avait tout pour plaire à la jeune fouine qui entendait suivre ses cousins où qu’ils aillent.


-Hrm hrm… laissait entendre le vieil homme au front dégarni qui se trouvait sur une chaise non loin d’elle, sortant Sif de ses songes.

Jacquou était un homme pieux ramené par Rollo lors de la mise à sac d’un temple de campagne et qu’on avait privé de sa liberté. Désormais ce que l’on nommait un Thrall, il devait sa survie à sa capacité à enseigner à la jeunette l’art de la lecture et l’écriture depuis plusieurs années maintenant. Son humilité l’avait sauvé maintes fois de situations dangereuses alors qu’il préférait baisser les yeux que de répondre à l’offense ou débattre théologie avec des hommes des clans plus attachés à leurs traditions.

-Mademoiselle Sif, si vous le voulez bien, nous pouvons poursuivre notre lecture de « Dynasties – La montée et la chute des illustres », un ouvrage fort de sa richesse et que je me fe…

-Hé! Bec-de-lièvre! Tu viens nous rejoindre, la cousine?

Et bien qu’elle haïsse ce surnom de tout son être, elle avait bien dû s’y faire, à force d’usage, lorsqu’il était utilisé par les membres de son clan. Quoi qu’il en soit, il n’en fallait pas plus pour qu’elle se détourne du vieux prêtre qui murmurait une prière pour l’Aïeul, soit de lui donner la patience nécessaire alors qu’elle lui jetait nonchalamment le volume qu’elle tenait contre elle un peu plus tôt.

Jacquou la regarda en contrebas pousser un cri perçant alors que l’un de ses cousins la serrait contre lui, la maculant de boue. L’entendre rire et la voir sourire à pleines dents le fit lever les yeux vers le ciel avec gratitude, comme s’il avait été exaucé. Quand bien même était-il désormais le serviteur forcé de barbares et qu’il se trouvait à mille lieux de sa famille, des siens et de temples qu’il avait aidé à ériger, on n’enseignait pas pendant six années à une enfant sans se lier de sentiments sincères.

Et lors des rares occasions où elle se permettait d’oublier le plus évident de ses complexes, lorsqu’elle s’abandonnait à être l’enfant qu’elle était et que son rire fendait l’air, Jacquou se sentait au bon endroit.
Les chroniques des Sveinsson 10442910
Sif
Sif


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MessageSujet: Les récits du conteur : Skögul et le jotun Les chroniques des Sveinsson EmptyLun 11 Oct - 4:08
Les chroniques des Sveinsson HpuxAgN

Les dieux étaient sûrement en colère. La tempête faisait rage depuis plusieurs heures et ne donnait aucun signe d’essoufflement. Accompagnés du tonnerre et du bruit de la pluie battante, les rugissements du vent rappelaient ceux d’une formidable bête, triomphale, la gueule gorgée de sang.

La nuit avait déjà terminé sa première moitié lorsque le dernier voyageur du jour arriva à la Maison Sveinsson. Par un temps pareil, les portes du Nord étaient toujours ouvertes aux voyageurs. Ainsi personne ne fut surpris lorsque les cinq coups annonçant un visiteur perdu se firent retentir. Les nombreux enfants assis au sol près du grand foyer n’avaient même pas levé leur regard, lorsque, de vent, la porte vint s’abattre bruyamment contre le mur de la maison longue et que le tonnerre vint accentuer le fracas.  

Le voyageur s’excusa et referma la porte, replaçant l'espar sur la lourde porte. Les rugissements du vent devinrent sourds mais demeuraient toujours dominants à tout autre son pouvant être entendu dans la maison bien remplie.

Au centre de l’allée centrale, un foyer crépitait fortement, la pluie s’infiltrant par l’évent du toit demandant un bois très sec. Sur une chaise près du feu trônait un vieillard à l’air acerbe, dont les paroles semblaient être bues par les septs enfants assis au sol près du foyer. Malgré la fumée et les tisons, le voyageur remarqua tout de même l’eau qui montait aux yeux du patriarche en racontant son histoire, rendant ses yeux brillants dans la lueur nocturne du feu tels des liards.

-… car le jotun n’était pas près d’écouter ! Oh non! Malgré sa fureur et sa destruction du Nord il avait la même faiblesse que nous tous. Du grain et de l’hydromel, c’était ça qu’il voulait. Et sa faim était plus grande que sa rage encore.

Le vent roula un rugissement sur les murs qui craquèrent faiblement sous la force des vents. Un éclair éclaira le sol sous la trappe à fumée et le tonnerre accompagna la bouffée de fumée du vieillard.

-Lorsqu’il arriva dans nos terres, il avait déjà écrasé de nombreux villages et vaincu de nombreux guerriers. C’était pour plusieurs le même sort qui nous attendait. Mais la lignée de nos ancêtres est forte, et notre tête dure. Skögul était la plus têtue d’entre eux, et elle partit seule contre le géant, sûre d’elle. Et lui fit face ! Pendant deux nuits et un jour entiers leur combat dura. Et le bruit de leurs armes retentit si fort que les oreilles des bambins saignèrent dans leurs berceaux !

Comme pour lui donner raison, un rugissement du tonnerre fit vibrer la maison.

-Skögul avait beau être la plus grande et la plus douée des guerrières du Bosc, elle perdait peu à peu sa force plus le combat s’étirait. Et plus le temps passait, plus le jotun la trouvait gracieuse et farouche! Il n’avait jamais combattu si longtemps. Skögul était grande et belle, ses hanches pouvaient porter autant de bébés qu’une louve et ses mammelles avaient de quoi mettre le géant en appétit! Et à un moment, elle vit l’effet qu’elle avait sur lui !

Il prit une bouffée de fumée puis mima une longue verge de ses mains. Il reporta son regard rieur sur les enfants mal à l’aise, souriant en coin.

-Ohh ! Ça oui, ils s’aimèrent. Sur les montagnes et dans les lacs. Dans les forêts et les champs. Et leurs ébats creusèrent les mines qui parsèment nos terres. Une fois la rage du géant calmée, Skögul lui demanda d’épargner le Bosc. Encore rougit et mouillé de ses ébats il accepta et partit, n’emportant que la chemise de Skögul et trois barils de grains.

Bol de soupe chaude en main, le voyageur était maintenant lui aussi transi par l’histoire racontée par le patriarche. Les occasions d’en apprendre sur les ancêtres étaient rares, et il se considérait chanceux.  

-Forts en toute chose, les jotuns le sont aussi en sang et en chair. Aussi Skögul ne s’attendait pas à ce que son ventre devienne si gros dans les mois suivants. Après trois mois seulement, son ventre était plus gros qu’une femme mûre prête à mettre bas! Mais elle était en forêt. Savante et courageuse elle chassait souvent seule. Mais ce soir, le bébé lui fit tellement mal qu’elle ne put rentrer par elle-même.

Le vieillard renifla fortement et cracha un énorme graillon dans le feu ardent.

-OH! Elle se rendit bien compte que même au ventre, son enfant avait en lui une furie légendaire. Elle hurla à l’aide! Supplia ses ancêtres de lui venir en aide... Au départ... Il ne fut pas long qu’elle leur demanda de la tuer! Incapable de tolérer la douleur, elle prit son couteau... l'approcha de sa gorge... et décida, au lieu de mettre fin à ses jours, de laisser sortir la fureur de ses entrailles et de la libérer au monde!

Le vieux conteur se leva de sa chaise, imitant les gestes de la femme sans ménagement aux enfants devant lui.

-Alors elle le planta là, près de son poil et ouvrit sa propre panse jusqu’à l’estomac ! Elle hurla et cria encore ! Mais elle sortit l’enfant de là, et elle pleura des larmes de douleur et de joie. Car jamais elle n’avait vu un enfant aussi grand et aussi fort. Elle prit les lacets de son sac et se recousit pendant qu’elle allaitait son fils. Heureuse de son sort et décidée à changer notre histoire, elle lui donna le nom de son père, qu’il donna lui aussi à ses fils.  

Il pointa vers un des enfants, le regard sévère.

-Et c’est pour ça, Sveinn, que tu dois être fier. Dans ton sang coule le sang d'un jotun. Tiens-toi toujours debout et regarde le monde d’en haut, comme le demande ta lignée!

Le voyageur sourit en buvant sa soupe. Reportant son regard sur la jeune femme avenante qui l’avait accueillit, il se demanda si sa soirée dans la maison Sveinsson n’aurait pas d’autres jolies surprises à lui offrir et il espéra que le vent souffle encore longtemps si c’était le cas.

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Athanase


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MessageSujet: Re: Les chroniques des Sveinsson Les chroniques des Sveinsson EmptyMar 12 Oct - 1:08
Knute: Destinée

Les chroniques des Sveinsson Captur10

- Gloire au Sveinsfoddir! Pour le Nord! Vive le Roi Bosc!

C'est ce qui résonnait ce soir là à Holm. Cris victorieux et discours glorieux se confondaient aux claquements des chopes de bières qui s'entrechoquaient et des guerriers nordiques dévorant à même les os ce que composait ce festin carnivore hautement mérité.

Traditionnellement, la lignée du Sveinsfoddir vivait en retrait de la capitale skornavienne et du reste des fiefs plus populeux. En rien un clan dont les membres avaient jusqu'ici aspiré aux titres de noblesse ou de basse noblesse, le Roi Bosc avait eu la bonté de tolérer l'existence de ce petit campement modeste mais suffisant qu'était Holm. En échange, le Clan demeurait loyal à son égard, avec ses faits d'armes qui traversaient le temps pour en témoigner. Et ce soir là ne faisait pas exception. Le Clan célébrait la victoire périodique du Nord contre les Hommes du Levant, qui tentaient depuis plusieurs mois de s'en prendre aux terres nordiques.

Ce soir, on célébrait les prouesses de guerre du Clan, mais plus principalement celles de Sveinn, de quelques années le frère aîné de Knute. Les hommes racontaient l'avoir vu défaire à lui seul des dizaines et des dizaines d'ennemis, au grand plaisir et à la grande fierté de leur père. Non seulement Sveinn était un redoutable combattant, mais il savait mener les hommes. Et les hommes le suivaient. Il était en tout point l'héritier désigné parfait pour prendre responsabilité du Clan lorsque son tour viendrait et il le savait. Tout le monde le savait, et au-delà de la victoire sur le champ de bataille cette journée là, tout le monde festoyait pour cette raison. Tout le monde, sauf Knute.

Bien qu'il ait pris part à cette bataille aux côtés des siens et qu'il y avait lui-même récolté quelques faits d'armes, personne n'y portait attention. Parce que Knute n'était pas l'ombre du guerrier qu'étaient son frère et son père. D'ordinaire peu loquace, il avait naturellement appris à accepter un rôle secondaire dans toutes les activités de la famille. Il avait dû, comme tous les enfants de la lignée ne portant pas le nom de Sveinn d'ailleurs, prouver sa valeur d'une manière différente. Ce n'était pas tâche facile. Surtout pour un Sveinsson.

Le colosse se tenait là, sur la berge gelée toujours nappée du sang de ceux que la guerre n'avait pas épargnés, le regard rivé au large. Ses sentiments s'entremêlaient, à mi-chemin entre la fierté qu'il éprouvait pour son frère aîné et le reste de son Clan, puis cette quête de soi constante. Qui était-il? Comment allait-il pouvoir honorer son nom? Knute avait toujours été rusé, calculé, calme et posé. Mais on ne vainquait pas des armées en étant calme et posé. Du moins, pas pour un Sveinsson.

Alors que le poids de ses réflexions l'affligeait d'un profond sentiement de solitude momentané, il avait pu percevoir le bruit de pas légers s'approcher de lui. Ceux d'Astrid et d'Aaslaug. Les deux demoiselles lui avaient posé une main apaisante sur une épaule, sans le son. Elles savaient. Elles le connaissaient. Puis Knute se rappella qu'en dépit de toutes ces questions, il n'était pas seul. Et que la gloire du Sveinsfoddir serait assurée dans le temps, d'une manière ou d'une autre. Ça, c'était une certitude.


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Knute Sveinsson
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